Aya Nakamura en robe de plumes dorées, se réappropriant « For Me Formidable » de Charles Aznavour, avec l’orchestre de la Garde Républicaine ; Lady Gaga en bustier satiné et jupe en plumes rose vif façon Zizi Jeanmaire ; la mezzo-soprano Axelle Saint-Cirel perchée sur le toit du Grand Palais dans un drapé en trompe-l’œil aux couleurs du drapeau français ; et, bien sûr, Céline Dion au sommet de la Tour Eiffel dans un fourreau de soie piqué de milliers de perles d’argent…
Les nostalgiques des Jeux Olympiques pourront revivre certains souvenirs avec une visite à La Galerie Dior, le « musée » dans lequel la maison de couture valorise son héritage et qui jouxte sa boutique phare de l’avenue Montaigne, dans le 8e arrondissement de Paris.ème arrondissement, jusqu’au 30 septembre. Les quatre tenues en question, dessinées par Dior pour les artistes de la cérémonie d’ouverture le 26 juillet, y sont exposées.
L’occasion pour les curieux de découvrir les pièces sur-mesure sur lesquelles les ateliers et le plumassier Lemarié ont travaillé pendant de longues semaines. L’occasion également pour la marque de profiter encore davantage de la visibilité olympique dont elle bénéficie grâce au partenariat « premium » noué entre sa maison mère, le groupe LVMH, et le comité d’organisation de Paris 2024.
La Galerie Dior, 11, rue François-IestParis 8e, 14 € plein tarif, 10 € tarif réduit. Tarif unique de 5 € les 20 et 21 septembre, lors des Journées européennes du patrimoine.
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