L’ancienne crise immobilière, qui a paralysé les ventes de logements en France depuis l’automne 2022, semble avoir atteint son acme, révélant une reprise dans les mois à venir. Le nombre de transactions annuelles a effectivement cessé de reculer: fin décembre 2024, les ventes ont réalisé plus d’un an à 792 000, après 780 000 fin septembre 2024, selon les indices notaires publiés jeudi 27 février. Une rupture de tendance, certainement modeste, mais qui, qui est publiée le jeudi 27 février. “Suite à une baisse continue depuis fin septembre 2021” et alors le pic, de 1,2 million d’acquisitions (accumulé sur douze mois).
“Rebond Frank” ou évolution de “Pense” incertain? Les notaires du Grand Paris ne se sont pas installés en présentant, le même jour, leur dernière évaluation du marché immobilier ILE -DE -FRANCE. Une chose est certaine, selon Elodie Frémont, porte-parole des notaires du Grand Paris, “La baisse des volumes de transactions a débatché doucement dans Ile-de-France et les prix ne baisseront plus, ils commencent même à augmenter un peu”.
En Ile-de-France, l’activité s’est stabilisée à la fin de l’année: les ventes de logements anciens n’ont chuté que de 2% au quatrième trimestre 2024 (plus d’un an), tandis que sur toute l’année 2024, les ventes ont encore chuté de 13% par rapport à 2023 et surtout 36% par rapport à 2022.
“Nouvelles réductions de taux”
“La correction de l’activité semble maintenant être arrêtée, le marché ayant trouvé un peu d’air grâce à l’amélioration progressive de la solvabilité des ménages”Spécifiez les notaires du Grand Paris. “L’accès au prêt a fluidifié, nous voyons beaucoup moins de refus de crédit des banquestémoigne Elodie Frémont. Les banques nécessitent moins importantes qu’auparavant et nous voyons les prêts de relais réapparaître. »»
L’augmentation élevée et rapide des taux d’intérêt en 2022 a rendu l’accès des ménages à des emprunts beaucoup plus difficiles, les banques, en outre, montrant une grande réticence. Depuis la mi-2024, la Banque centrale européenne a lancé un cycle de relaxation de sa politique monétaire, qui a entraîné une baisse du taux de propriété moyen du crédit immobilier, est tombé à 3,2% en janvier 2025, clairement en dessous de 4,2% de 2023, selon le Crédit Housing / CSA.
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