Selon « Clarín », ces messages ont été échangés via l’application WhatsApp entre la femme accusant les deux joueurs de viol collectif aggravé et une de ses amies, le dimanche 7 juillet, quelques heures après les faits présumés survenus dans la chambre 603 de l’hôtel Diplomatic, dans le centre-ville de Mendoza. Contactés par « Le Parisien – Aujourd’hui en France », les avocats de la plaignante ont confirmé l’authenticité des enregistrements. Mardi, ils avaient affirmé que leur cliente avait « fourni des explications (sur ces messages) avec beaucoup de calme » lors de sa déposition devant le parquet local.
Affaire Jegou-Auradou : que disent les messages vocaux du plaignant divulgués dans la presse argentine ?
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