Chaque dimanche, L‘équipe Nouvelles vous invite à lire (ou à relire) dans sa newsletter Miroir L’un des rapports les plus frappants de la riche histoire du magazine. Vous pourrez revenir au cœur de certains défis du passé, avec l’apparence de maintenant.
Après une semaine, qu’est-ce que je dis, de la semaines! – Pour voir des textes, des chroniques, des rapports et des panneaux incalculables en circulation analysant scrupuleusement chacun des actes et gestes du président réélectionné, Donald Trump, j’ai promis de vous offrir un retour à l’arrière d’un sujet qui ne concernait pas du tout le tout le tout le tout du tout les États-Unis.
Ne pas faire l’autruche ou abaisser la garde, mais entre autres parce que je sais que la surdose des médias autour du chef d’État américain accélère pour une certaine fatigue d’information, pour ne le nommer que.
Dur, dur, cependant, pour éviter tout ce qui nous lie dans le pays de l’oncle Sam (nous le réalisons avec la guerre difficile qui est sortie), surtout en ce qui concerne les nouvelles béantes. Précisément, dimanche dernier, un “petit gars d’Ahuntssic” a remporté son cinquième prix Grammy lors de la première cérémonie (non télévisée) de la grande messe de musique américaine: Maestro Yannick Nézet Dion, savez-vous?) En ajoutant une autre copie du célèbre gramophone doré à sa collection.
Ce cadeau est arrivé quelques semaines avant ses 50e L’anniversaire de naissance (une fois de plus) a permis de noter le cours impressionnant du directeur artistique et chef principal de l’Orchestre métropolitain (OM) – une fonction, il faut dire, parmi les nombreux qu’il suppose. “Beaucoup” est aussi un euphémisme.
Il y a 10 ans, en 2015, Paul Wells a signé en 2015 en 2015 Nouvelles Un magnifique portrait de celui qui collabore avec les ensembles musicaux les plus prestigieux au monde, en particulier celui de l’Opéra métropolitain (le “Met”) de New York ou de l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, aux Pays-Bas. Si ce texte nous plonge dans un concert de l’Orchestre de Philadelphie (où le chef prend la foule même au milieu de la tempête de neige), nous nageons surtout dans ce désir de transmission que Yannick Nézet-Séguin porte, partout où il soit sur la planète. Bien sûr, ce pianiste accompli remplit la mission principale de l’OM: briller de la musique classique à l’intérieur et à l’extérieur des pièces – dans les écoles, les parcs, dans la région, les alouettes – et l’offre à tout le Monde, des extrémités des connaisseurs non initiés. Mais cette mission n’est pas seulement institutionnelle. Pour lui, elle est personnelle, ancrée dans son ADN. Et il le porte dans toutes ses activités.
Depuis la publication du rapport dans nos pages, l’artiste a continué de prouver sa valeur en ajoutant des lignes à son programme d’études Vitæ. En 2019, en particulier, OM a renouvelé “pour la vie” le contrat qui leur est lié depuis 2000 (le chef n’avait que 25 ans). Il a été décoré avec près d’une douzaine de doctorats Honore causa Les universités américaines et Québec, et ont reçu à peu près tous les titres honorifiques que notre gouvernement récompense.
Au-delà des prix, celui qui apparaît à 35e Le rang de notre dernière liste des personnes les plus influentes du Québec a “quelque chose” qui “conquiert tous les orchestres”, a écrit Paul Wells. Nous le comprenons à la lumière de ce que nous lisons dans l’article.
Il y a aussi cet amour poignant des spectateurs philadelphiens en ce qui concerne les Québécois. Comme si la musique voyageait au-delà des battements géopolitiques et des nuances économiques qui affaiblissaient notre quartier avec les Américains.
Parce que dans une symphonie comme dans une relation, les mouvements sont parfois calmes, parfois chaotiques. Mais c’est leur combinaison complexe qui mène, Allegro mon pas tropà l’harmonie.
Bonne lecture,
Angie Landry, journaliste à Nouvelles
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