Chaque dimanche, L‘équipe Nouvelles vous invite à lire (ou à relire) dans sa newsletter Miroir L’un des rapports les plus frappants de la riche histoire du magazine. Vous pourrez revenir au cœur de certains défis du passé, avec l’apparence de maintenant.
Qui avait, en 2005, “le sourire d’une étoile d’Hollywood, le corps de l’athlète d’un dieu grec, la facilité des médias d’une Alexander Despatie”? Index supplémentaire: nous l’avons dit “construit comme un inukshuk, avec un coffre large et des jambes robustes”.
Si quelqu’un a reconnu le jeune Sidney Crosby, bravo – il mérite certainement d’aller acheter un billet de loterie. Mais au-delà de cette description, peu enthousiaste d’un enfant enthousiaste, vous reconnaîtrez facilement Crosby ailleurs dans ce portrait publié en septembre 2005, quelques semaines avant les débuts de “Sid the Kid” dans la Ligue nationale de hockey.
Relisez ce texte par Charlie Gillis 20 ans plus tard (qui était journaliste au magazine MacLean’s) Permet de réaliser comment Sidney Crosby a réalisé les promesses que tous les amateurs de hockey ont vu en lui à la fin de son stage junior, après deux années scintillantes à Rimouski.
Nous reprenons la mesure cette semaine, dans le cadre de la confrontation des 4 nations organisées par la National Hockey League (Canada joue à nouveau lundi, et peut-être jeudi en finale). Sidney Crosby est évidemment capitaine de l’équipe, comme il l’a été aux Jeux Olympiques de Sotchi en 2014 (médaille d’or) et à la Coupe du monde en 2016 (le Canada a remporté le tournoi), et comme il l’a presque toujours été à Pittsburgh Penguins (Three Stanley coupes).
Choisir Crosby comme capitaine était absolument évident, a commenté au moment de sa sélection Connor McDavid, une autre tête d’affiche de la ligue. En termes de leadership, il y a lui et les autres, aussi bien qu’ils soient.
La Junior Maritimes Québec Hockey League a également profité de la présence de Crosby au Québec pour annoncer cette semaine que le trophée décerné chaque année à la meilleure recrue du circuit serait nommé en son honneur.
À son 20e La saison dans la LNH, Sidney Crosby maintient un niveau d’excellence qui, à certains égards, est sans précédent. Il partage actuellement avec Wayne Gretzky le record de 19 saisons consécutives avec une moyenne d’au moins un point par match. S’il maintient son rythme actuel d’ici avril, il sera seul au sommet de cette catégorie.
Le texte de Charlie Gillis a été écrit à un moment donné. À l’automne 2005, la Ligue nationale de hockey est sortie d’un lock-out qui avait forcé l’annulation de la saison précédente. Les dirigeants de la ligue en ont profité pour revoir plusieurs règles du jeu, espérant “donner au jeune joueur [Crosby] L’occasion de marquer des points et de développer vos talents au lieu d’être condamnés à se défendre contre les Brutes dans un jeu délimité et sans imagination “, comme l’a dit le journaliste. Crosby avait le potentiel de devenir le” porteur standard d’une sorte de renaissance du sport, “Il a ajouté.
Encore une fois, les promesses ont eu lieu. Les deux modifications des réglementations et l’arrivée de nouveaux joueurs spectaculaires – à commencer par Sidney Crosby et Alex Ovechkin, qui devraient bientôt être en avance sur Wayne Gretzky en tant que meilleur buteur de l’histoire de la ligue – ont révisé le jeu et sortir de l’ère de l’ère de La “trappe”, une période particulièrement ennuyeuse où le hockey a été joué dans un mode défensif tandis que les spectateurs bâillaient dans les tribunes.
L’article dépeint le portrait d’un jeune prodige déjà bien conscient des attentes qui lui sont placées, et déjà très grave dans son approche. “Alors que ses amis mangeaient des chips devant les jeux vidéo, le jeune Sidney, il avait une formation intensive visant à durcir ses quadriceps, les tendons de ses jarrets et ses abdos”, indique-t-il. Eh bien, ce n’est pas une image flatteuse de ses amis, nous sommes d’accord, mais ce n’est pas le sujet – c’est Sidney Crosby, une source de fierté canadienne (un thème à la mode de nos jours) qui rappelle que, oui, il est possible que les choses va bien dans la vie …
Bonne lecture!
Guillaume Bourgault-Côté, chef du bureau politique
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