
Les migrants sur le point d’être expulsés de Mauritanie ont ” attaque “ Et Burned, le samedi 8 mars, un poste de police à Gogui (sud-est), à la frontière avec le Mali, selon des sources de sécurité et administratives. “Après avoir été atterri pour traverser la frontière, les expulsés ont attaqué le poste de police avec des pierres, avant de le faire feu”Une source de sécurité a déclaré à la France-Presse (AFP). Les vidéos publiées sur les réseaux sociaux – que l’AFP ne pouvaient pas s’authentifier – montrent l’intervention de la police pour l’utilisation de auvents de gaz lacrymogène pour disperser les migrants.
La Mauritanie est un point de départ pour de nombreux migrants, de toute la région, qui ont essayé de rejoindre l’Europe en prenant la mer. Depuis plusieurs jours, le pays met en œuvre une grande campagne d’arrestations et de réprimer les migrants dans une situation irrégulière, très critiquée sur les réseaux sociaux et par les ONG. Lors d’une conférence de presse jeudi, le porte-parole du gouvernement, Houssein ould Meddou, a parlé “Travail de routine des services de sécurité” En ce qui concerne les migrants qui n’ont pas régularisé leurs permis de résidence, sans spécifier le nombre de personnes concernées ou les conditions de répression.
Selon Houssein ould Meddou, les migrants sont retournés aux postes de frontière par lesquels ils sont entrés dans le pays. “La semaine dernière, nous avons démantelé quatre réseaux de trafic de migrants dont les membres proviennent de cinq nationalités”Il a dit, soulignant le rôle de la Mauritanie en “La lutte contre l’immigration illégale”. «Ces réseaux mettent en danger la vie des migrants en leur offrant des bateaux de mort pour les amener en Europe. Leur itinéraire se termine souvent en haute mer, avant que leurs corps ne soient projetés sur les rives »Il a continué.
L’activiste Kory Sneïba, de la SOS Slaves Association, a parlé mardi dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux: “Nous pensons que ces migrants ne devraient pas être arrêtés dans des conditions inhumaines et nous demandons que cela se produise en ce qui concerne les droits de l’homme.” ” Cette opération “Devrait avoir lieu avec le respect de la dignité humaine, afin d’éviter toute frustration chez les migrants”, Sneïba a déclaré à l’AFP jeudi.
“Depuis le 2 mars 2025, nous avons été signalés à l’arrivée de plusieurs de nos compatriotes au Gogui Border Post”a réagi le ministère des Maliennes établi à l’extérieur dans un communiqué publié vendredi. “Leur situation fait l’objet de gestion des autorités maliennes et mauritaniennes”dit le communiqué de presse, qui appelle les migrants maliens “Calme”. En signe de protestation, les associations maliennes ont appelé à se réunir lundi matin devant l’ambassade de Mauritanie à Bamako.