
Dans un Congrès du Parti socialiste (PS), il y a des détails qui ne trompent jamais. Lorsque le président du PS de Seine-Saint-Denis, Stéphane Trousel, a refusé de rejoindre le soutien d’Olivier Faure dès le départ, qui a raconté la fragilité du premier secrétaire sortant. L’influence élue-dede -france, chef d’orchestre de l’une des plus grandes fédérations socialistes, qui avait voté massivement pour le courant de M. Faure en 2023, a hésité pendant des semaines: continuer à défendre ce dernier, son évaluation et sa ligne stratégique, ou pour arrêter les mois au président du groupe de l’AP à l’assemblée nationale pour le premier secrétaire? “Je ne veux pas avoir à choisir entre [l’un ou l’autre] »»Il s’est toujours justifié le 29 mars.
Ces derniers jours, l’annonce d’une fusion potentielle des courants minoritaires de l’opposition, celle du maire de Vaulx-en-Velin (Rhône), Hélène Geoffroy (chef de file de “To1”, pour “Texte d’orientation”) et celle du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol (face de “To3”), jostlée Congrès socialiste, prévu du 13 au 15 juin à Nancy. Et précipite les choix de beaucoup. Les hésitants n’hésitent plus, en commençant par Stéphane Trousel, qui décide de soutenir le premier secrétaire sortant. “Je fais ce choix parce que je crains que le tragique du congrès de Marseille [de 2023] et ses divisions Ne répétez pasexplique à Monde L’élu de Seine-Saint-Denis. Tout le monde, de Hélène Geoffroy à Olivier Faure, a dit et répété que nous ne devrions pas revivre cela. Cependant, la fusion de TO1 et TO3 reproduit le régime de Marseille. C’est une alliance de ceux qui font «tout sauf Faure». Ce n’est pas une ligne politique, ce n’est pas l’unité des socialistes. »»
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