
L’American Medicines Agency (FDA) a approuvé, avec un retard inhabituel, l’autorisation complète d’un vaccin Covvi-19, le laboratoire pharmaceutique qui l’éveille annoncé le lundi 19 mai.
La société Novavax avait demandé à la FDA de finaliser l’approbation de son vaccin Nuvaxovid contre le CoVVI-19, déjà autorisé aux États-Unis grâce à une autorisation d’urgence pour les personnes âgées de 12 ans et plus. Et l’agence fédérale s’était engagée à décider du sujet avant 1er Avril 2025. Elle avait raté cette date limite.
Le secteur médical et pharmaceutique était préoccupé par ce retard, lorsque les autorités sanitaires sont soumises à une refonte drastique dirigée par l’administration Trump, et plus particulièrement par le ministre de la Santé américaine, Robert Kennedy Jr, vaccinosceptique.
Seules deux catégories bien définies de la population concernée
Si l’agence fédérale a finalement approuvé le vaccin Nuvaxovid, il a largement limité son utilisation, cette fois, ne l’approuve que pour deux catégories bien définies de la population.
“L’approbation d’aujourd’hui consolide l’accès des Américains âgés de 65 ans et plus, et ceux âgés de 12 à 64 ans et souffrant d’une comorbidité les exposant à un risque élevé de forme grave du CoVVI-19, à un vaccin (…) Sans Mernm “Cependant, John Jacobs, président de Novavax, a cependant accueilli dans un communiqué.
Contrairement aux vaccins contre l’ARN Messenger CoVVI-19 de Pfizer-Biontech et Moderna, celui de Novavax utilise une technologie plus classique, similaire à celle du vaccin Darling.
Les nouvelles restrictions sur ce vaccin soulèvent également des questions, comme pour la politique de vaccination du nouveau ministre américain de la Santé. Robert Kennedy Jr a diffusé à plusieurs reprises de fausses informations sur les vaccins sur le vaccin contre la rougeole en pleine épidémie dans le pays et a nommé plusieurs personnalités vaccinosceptiques à des postes clés dans les agences de santé américaines.