Dans le Quartier des Spectacles de Montréal, l’endroit des Arts a été transformé en un terrain de jeu géant à l’approche de l’été, avec des jeux pour enfants et adultes. Les passants ont été invités à se joindre à des recherches de mots géantes, à choisir des lettres qui ont fait des mots comme “Solitude”, “Joie” (Joy), “Avalanche” et, notamment, “Rémésité”.
Le mot «résistance» résonne à travers le Canada depuis que le président américain Donald Trump a unilatéralement annoncé son désir de faire du pays le “51St L’État “de l’Amérique, tout en lançant simultanément une guerre commerciale contre son allié le plus proche et le plus fiable. Le Canada partage près de 9 000 kilomètres de frontière avec son voisin, et son commerce annuel avec les totaux américains des totaux d’un billion de dollars canadiens (638 milliards d’euros).
Pour l’une des premières fois de leur histoire, ils sont unis avec le reste du Canada, un pays auquel ils appartiennent mais ne s’étaient jamais vraiment identifiés, et à partir duquel ils ont presque éclaté dans deux référendums (ratés), en 1980 et 1995. Pas même les deux guerres mondiales avaient produit une telle unité: le Québec a refusé l’appel d’Ottawa pour la conscription pour soutenir les forces britanniques, en discutant au moment où il était hors de la question de la question de la question de la question. Aujourd’hui, le roi Charles III reste le chef de l’État du Canada (comme c’est le cas pour tous les pays du Commonwealth, comme l’Australie). Mais dans ce contexte, les Québécois sont devenus moins timides.
“ Achetez le Canadien ”
En ce jour de mai ensoleillé, les expressions de soutien à l’État fédéral – généralement rencontrées par le mépris – étaient florissantes. Sur la rue Sainte-Catherine, une boutique de souvenirs affichait des t-shirts et des casquettes portant le slogan “Canada n’est pas à vendre”. À Fairmount, une boutique de bagels de Montréal renommée, les bagels ont été recouverts d’une pâte rouge avec des graines de sésame blanc, évoquant les couleurs nationales du Canada. Ailleurs, les fenêtres des magasins affichaient des panneaux proclamant: “Il est temps de se réveiller, nous achetons canadien!”
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