
Le mari d’Assia, étranglé puis démembré et dont le corps avait été retrouvé en février 2023 dans le parc parisien de Buttes-Chaumont, sera jugé devant la Cour d’assise de Paris pour meurtre par le conjoint, a appris le mercredi 2 juillet, l’Agence (AFP) à proximité du dossier.
Ce licenciement, révélé par Le parisien Et pris le 23 juin par le juge enquêteur en charge du dossier, se conforme à l’acte d’accusation final du bureau du procureur de Paris.
Le corps démembré d’Assia M., une mère née en 1976, avait été découverte à la mi-février 2023, dispersée dans le parc Buttes-Chaumont, le 19ee ARRRONDSITION, par les employés de la ville.
Son mari, Lakhdar M., un employé polyvalent dans un supermarché, récemment en congé de maladie, a rapporté la disparition de sa femme à la police le 3 février. Il a finalement été inculpé et emprisonné le 25 février 2023 pour meurtre par conjoint. Le reste du corps de sa femme avait été découvert dans des sacs Poubelle à Bobigny, sur les indications du suspect pendant la garde de la police.
Lakhdar M. est en détention pré-provenante aujourd’hui.
De nombreux hématomes et ecchymoses
Selon l’ordre de référence que l’AFP était au courant, Lakhdar M. a constamment avancé lors de l’enquête selon laquelle un différend avait éclaté avec sa femme le 30 janvier 2023, en raison de difficultés financières, et qu’il l’avait étranglé pour “Pour la faire taire depuis qu’elle pleurait”. Il a nié avoir “Voulait la tuer” Ou “Le faire nuire”.
Il est soupçonné d’avoir ensuite caché le corps dans leur appartement, situé à Montreuil (Seine-Saint-Denis), puis l’a coupé le 2 février et a simulé sa disparition.
Selon l’ordre de référence, les autopsies ont révélé de nombreuses ecchymoses et hématomes sur différentes parties du corps d’Assia, qui, selon le médecin légiste, ne pouvait se produire que au cours de son vivant et est lié à des chocs et / ou des coups pour la majorité entre quelques minutes et quelques heures avant sa mort.
Si Lakhdar M. a invoqué un “Trou noir” Au cours des faits, il n’a souffert d’aucun trouble psychiatrique et son discernement n’a été ni aboli ni modifié au moment des faits, selon les deux expertise faites.
L’ordre souligne qu’il n’a pas appelé l’aide pour essayer de sauver sa femme.