Trois gestionnaires des centres dentaires Nobel Health et un pharmacien ont été inculpés le vendredi 4 juillet à Paris, soupçonnés d’être impliqués dans une arnaque dans plusieurs millions d’euros des dommages à l’assurance maladie.
Deux d’entre eux, fondateurs “D’une entreprise comptable”ont été emprisonnés vendredi soir, selon l’accusation. Ils sont accusés d’être “À la tête du système” D’Amans Degorie, a assuré au procureur lors de leurs audiences devant un juge des libertés et de la détention, à laquelle l’agence France-Presse (AFP) a assisté.
Dan L., dans la quarantaine, déjà posté “De nombreuses condamnations à son casier judiciaire: violation de confiance, faillite, exercice illégal dans la profession d’agent immobilier …”elle a continué. Mais ces date “Il y a plus de vingt ans”a noté son avocat, me Alexis Gublin. Le conseil a déclaré à l’AFP que son client avait contesté les faits présumés.
“Je ne quitterai pas le pays”a également assuré un autre fondateur, Yoni S., 44, espérant obtenir un placement sous surveillance judiciaire. Son avocat, me Antoine Maisonneuve, a souligné son état de santé fragile: “80% handicapés” et souffrant du syndrome “De Guillain-Barré et la maladie de Crohn”.
Les épouses de ces deux fonctionnaires, donc soupçonnées, seront présentées à la justice à l’automne, ont déclaré des sources proches du dossier à l’AFP.
Arnaque aggravée et blanchiment
Les deux autres inculpés, “Directeur opérationnel des centres” Selon l’accusation et une autre, “Pharmacien” Et frère de Yoni S. Selon l’une des sources étroites, ils ont été inculpés et placés dans une surveillance judiciaire vendredi.
La procédure, prononcée après la garde de la police, fait partie d’une information judiciaire ouverte en avril pour des arnaques aggravés et un blanchiment d’argent, le tout dans un gang organisé.
“Selon un appareil déjà observé à plusieurs reprises, il a été constaté que les fondateurs des centres de santé, relatifs au statut des associations juridiques de 1901, avaient également créé des sociétés de services, des fournisseurs de centres de santé et donc de recevoir des paiements”a expliqué le bureau du procureur de Paris.
“Des flux jusqu’à 16 927 000 euros en faveur de ces divers fournisseurs ont été observés, à partir de comptes de onze centres”Il a continué. «Les dommages globaux sont estimés à environ 5 millions d’euros sur plusieurs années. Des entrées bancaires majeures ont été effectuées»a souligné le procureur.
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Avant le juge de la liberté et de la détention, le défendeur a mentionné des crises totales d’environ 7,5 à 9 millions d’euros.
Les centres souvent installés “dans les déserts médicaux”
L’affaire a commencé en 2020 avec une première plainte, “Dénonçant la facturation des actes fictifs ou la modification de la nomenclature des actes afin d’obtenir des remboursements plus avantageux”selon l’accusation.
Au total, douze plaintes ont été déposées entre 2020 et 2023, destinées à l’escroquerie, à une fausse et à l’utilisation de fausses déclarations fausses en vue d’obtenir ou de tenter d’obtenir une organisation de protection sociale un paiement indulgent. Selon l’une des sources proches du fichier, ces centres étaient souvent installés “Dans les déserts médicaux”.
Deux recherches ont eu lieu en janvier 2024 et une autre il y a quelques semaines, a déclaré l’une de ces sources. Pour sa part, l’assurance maladie avait également disparu dix centres en avril 2024. Elle a un total de douze plaintes entre 2020 et 2023. En question, selon l’assurance maladie: “Factive fictive, multiple ou incohérente, [un] Non-conformité aux références ou aux conditions de soins de bonnes pratiques prévues dans la nomenclature des actes techniques (CCAM), [un] délabrement des dents saines “.