
Dans un message sur X, le porte-parole arabophone de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a appelé le dimanche 20 juillet, les résidents et le réfugié déplacé palestinien de la région de Deir al-Balah pour évacuer immédiatement le secteur. Israël “Élargit ses activités” autour, “Y compris dans une zone où elle n’avait jamais opéré”Il a dit. Il a exhorté les civils à “Allez vers le sud, vers la région d’Al-Mawassi” sur la côte “Pour leur sécurité”.
En près de vingt-deux mois de guerre, la majorité des plus de deux millions de Palestiniens dans la bande de Gaza ont été déplacés au moins une fois. Le bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies a rapporté en janvier que plus de 80% du territoire palestinien, ravagé par la guerre et la faim, était couvert par des ordres d’évacuation israéliens toujours en vigueur.
En Israël, les familles des otages sélectionnés à Gaza s’inquiétaient des conséquences de l’expansion de l’offensive, une association de parents appelant les autorités israéliennes à “Expliquez de toute urgence aux citoyens et aux familles le plan de combat et comment il protège les otages”Signale dimanche l’agence France-Presse (AFP).
Les photos israéliennes sur une foule en attente d’aide sont de 57 morts
Sur le terrain, la défense civile a annoncé à l’AFP que sept personnes avaient été tuées dans la nuit de samedi à dimanche par de nouvelles attaques israéliennes dans la ville de Gaza (nord) et au sud du territoire palestinien.
L’armée israélienne a déclaré qu’elle avait intensifié ses opérations terrestres à Jabaliya (nord), où elle prétend avoir tué “Des dizaines de terroristes”, et démantelé “Des centaines” Infrastructure terroriste, y compris les tunnels s’étendant sur 2,7 kilomètres à une profondeur de 20 mètres.
Le porte-parole de la défense civile de la bande de Gaza, Mahmoud Bassal, a également déclaré dimanche à l’AFP que 57 personnes avaient été tuées dans “Plans [d’Israël] Dans le sens des personnes qui attendent de l’aide dans la région de Zikim, au nord-ouest de la ville de Gaza ». Soliditée par l’AFP, l’armée n’a pas réagi immédiatement.
Départ d’un nouveau bateau humanitaire pour Gaza
Un nouveau bateau de Flolle pour la liberté transportant des militants propalestiniens et une aide humanitaire a laissé Gallipoli, en Italie, dimanche, pour Gaza, un mois et demi après l’interception par Israël d’un précédent navire. LE HandalaLe navire de ce mouvement international non violent pour soutenir les Palestiniens tentera de rejoindre l’enclave palestinien sous l’emprise d’une situation humanitaire désastreuse après plus de vingt mois de guerre.
Cet ancien chalutier norvégien, responsable de l’équipement médical, de la nourriture, de l’équipement pour enfants et des médicaments, naviguera pendant environ une semaine en mer Méditerranée pour parcourir environ 1 800 kilomètres jusqu’aux Côtes de Gaza. À bord en particulier, deux élus de la France rebelle (LFI), Gabrielle Cathala et Emma Fourreau.
L’initiative intervient sept semaines après le départ de FaroucheUn autre navire est parti d’Italie sur 1er Juin pour “Briser le blocus israélien” à Gaza. Le voilier avait ensuite à bord 12 militants, dont la militante environnementale Greta Thunberg et le député député (LFI) Rima Hassan, qui avait été détenue trois jours après l’interception du navire, à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza.
Le pape appelle à mettre fin immédiatement la “barbarie” de la guerre
Le pape Leo XIV a appelé dimanche pour mettre fin au “Barbarisme” de la guerre à Gaza et “L’utilisation aveugle de la force”Quelques jours après une grève mortelle israélienne contre la seule église catholique de la bande de Gaza. À la fin de la prière de l’Angelus, Leon XIV a ajouté qu’il voulait “Une résolution pacifique des conflits”.
Alors qu’Israël et le Hamas poursuivent leurs pourparlers indirects pour une trêve, des centaines de personnes se sont rassemblées samedi soir à Tel Aviv, appelant le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, et le président des États-Unis, Donald Trump, pour libérer les otages et mettre fin à la guerre.
Sur les 251 personnes kidnappées en Israël lors de l’attaque du Hamas qui a déclenché la guerre le 7 octobre 2023, 49 sont toujours des otages à Gaza, dont 27 ont été déclarés morts par l’armée israélienne. L’attaque du 7 octobre a conduit, du côté israélien, le décès de 1 219 personnes, principalement des civils, selon un décompte de l’AFP fait à partir de données officielles.
Dans la bande de Gaza, les représailles israéliennes ont fait au moins 58 765 morts, principalement des civils, selon les données du ministère de la Santé à Gaza, jugées fiables par les Nations Unies.