
Le projet de loi de révision constitutionnelle sur l’autonomie de la Corse est un “Compromis texte” Et “Peut réussir”Assuré le ministre de la planification régionale, François Rebsamen, à la fin du conseil des ministres, mercredi 30 juillet.
Il a fait référence au Parlement les débats sur les développements possibles dans le texte recommandé par le Conseil d’État, tandis que le droit sénatorial a demandé que cette opinion soit intégrée dans le texte. L’opinion consultative du Conseil d’État a recommandé en particulier de remplacer le concept de ” communauté “ Corse et celle de “Lien singulier [de cette communauté] à sa terre “ Et refusé le pouvoir législatif autonome à la communauté corse.
Malgré le fait que le gouvernement ait choisi de ne suivre aucune de ces recommandations, M. Rebsamen a assuré qu’il ne l’a pas fait “Fi”. Le ministre a assuré que cette opinion déclarer que “La consécration de cette autonomie ne frappe aucun des principaux principes qui ont trouvé la République”.
Opposition du droit
M. Rebsamen a déclaré soutenir le terme “communauté” corse et a déclaré que“Il n’y a pas eu de débat” pendant le Conseil des ministres sur le “Pouvoir législatif” de la communauté corse. L’opinion du Conseil d’État, cependant, a semé le trouble au sein de la “base commune”, puisque le président (les républicains) du Sénat, Gérard Larcher, a écrit au Premier ministre pour demander au gouvernement de s’intégrer au texte les recommandations de l’institution.
Le ministre de l’Intérieur et président des républicains, Bruno Retailleau, a également exprimé son “Désaccord” Mercredi, avec ce texte lors du Conseil des ministres, son entourage a déclaré à l’agence France-Press (AFP).
“Je voudrais dans un souci de transparence, mais aussi de cohérence avec ce que je crois – et que j’ai toujours cru – vous parler de mon désaccord sur ce texte sur la Corse, dans sa version originale”Il a dit, “Regretter” qui n’a pas été conservé “Les changements suggérés par le Conseil d’État”selon lui “Salutations”. “Je crains que ce projet de loi ne suscite finalement les frustrations” a conclu M. Retailleau, au cours d’une déclaration, dont l’AFP en avait une copie.
Le projet de révision constitutionnelle visant à accorder l’île “Une autonomie en République” a été lancé en 2022 par Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur, à la demande d’Emmanuel Macron, pour mettre fin à la violence sur l’île causée par la mort en prison par l’indépendance du militant Yvan Colonna.
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Le président s’était engagé à soumettre le texte au Parlement, résultant d’un accord politique conclu en mars 2024, s’il était validé par l’Assemblée corse, qui l’a adoptée à l’unanimité moins. Pour être adoptée, cette réforme constitutionnelle doit être votée dans les mêmes termes par l’Assemblée nationale et le Sénat, puis, lors de leur réunion au Congrès, par la majorité des trois cinquièmes.