Le Premier ministre français de la France, François Bayrou, a déclaré le lundi 25 août, que son gouvernement demanderait un vote de confiance le 8 septembre, demandant un soutien parlementaire pour sa bataille contre la mise en évidence de la dette publique. Le chef du National National (RN), l’extrême droite, Jordan Bardella, a immédiatement déclaré que son parti ne soutiendrait pas les coupes prévues de Bayrou, suggérant que le gouvernement minoritaire pourrait faire face à la défaite lors du vote.
Bayrou a déclaré lors d’une conférence de presse que l’Assemblée Nationale serait invitée à “confirmer l’échelle” des réductions des dépenses, alors que le gouvernement cherche à économiser environ 44 milliards d’euros par an.
“J’ai demandé au président, qui a accepté, de convoquer une session extraordinaire du Parlement le lundi 8 septembre”, a déclaré Bayrou aux journalistes. Bayrou n’a pas de majorité à la Chambre basse du Parlement, à l’Assemblée nationale, et le prochain vote souligne la fragilité de sa position. Bayrou a déclaré que la France traversait un “moment décisif”.
“Si vous avez une majorité, le gouvernement est confirmé. Si vous n’avez pas de majorité, le gouvernement tombe”, a ajouté Bayrou.
Le radical-gauche La France Insoumise (LFI) et le RN d’extrême droite de Marine Le Pen ont déclaré qu’ils utiliseraient le vote pour essayer d’éviter le gouvernement centriste.
“Nous voterons évidemment contre la confiance dans le gouvernement de François Bayrou”, a déclaré Le Pen dans un article sur les réseaux sociaux. “Seule la dissolution [of the Assemblée] Permet désormais aux Français de choisir leur destin. “
Le chef vert Marine Tondelier a déclaré que l’annonce de Bayrou était “en fait une démission”.
“Les écologistes n’ont pas confiance en ce Premier ministre, qui poursuit un projet irresponsable à la fois socialement et environnemental”, a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux. “Nous voterons contre cela.”
À la mi-juillet, Bayrou a présenté des propositions budgétaires en 2026, affirmant qu’il voulait réduire le nombre de jours fériés en France dans le cadre d’une tentative de lutter contre ce qu’il a appelé la “malédiction” de la dette du pays. Après des années de dépenses excessives, la France est en avis pour contrôler son déficit public et réduire sa dette tentaculaire, comme l’exige les règles de l’UE.