Les championnes olympiques de Tokyo ont perdu leur titre face à des Norvégiennes beaucoup trop fortes. La fatigue a eu raison des filles de Krumbholz, qui ont remporté d’autres finales.
Envoyé spécial à Villeneuve d’Ascq
Toujours aussi espiègle, le futur retraité Olivier Krumbholz a résumé le sentiment général après la lourde défaite, 29 à 21, de ses filles face aux indomptables Norvégiennes. « Dans cette finale, il n’y a pas eu de confrontation. Je ne ressentirai pas l’amertume d’avoir perdu de justesse, même si j’aurais aimé prendre cette amertume. Notre travail reste d’être le plus efficace possible… » Et de prolonger son observation sur cette confrontation à sens unique en seconde période. “L’écart de score me fait un peu mal. Je reste très frustré qu’ils nous aient autant dominés. Et de ne pas avoir trouvé les solutions pour aider mes joueurs.” Des champions olympiques qui, hormis les dix premières minutes, n’ont jamais semblé en mesure de conserver leur titre.
« La victoire est méritée pour les Norvégiennes. Elles nous ont dominées. Elles étaient plus rapides, plus puissantes, tout simplement plus fortes. Certaines filles étaient un peu à bout de souffle et n’ont pas réussi à…