
Une confrontation pour la présidence des républicains (LR) mais pas un “Guerre principale”. Quelques jours après leur annonce de candidature, Bruno Retailleau et Laurent Wauquie ont montré leur souhait d’éviter un “Match sanglant”selon les mots du ministre de l’Intérieur, dans Le parisienSamedi 15 février. “Les différences de fond, de tempérament, d’incarnation ne sont pas résolues en brutalité mais dans les urnes”a estimé la vende élue officiel.
Regrettant pour sa part la candidature de M. Retailleau, garantissant que“Il y avait plus d’intelligent à faire” pour le droit que “Tear” vous-même “M. Wauquie a également montré son souhait d’exclure tout ” guerre “Au cours de cette campagne, dimanche soir BFM-TV.
Se démarquer de son concurrent – le seul pour le moment – Laurent Wauquie a dit qu’il se battrait contre “Assistanat” et le ” travail “ ses thèmes de campagne. Et cela pendant que M. Retailleau “Parle principalement de la sécurité, de l’immigration A déclaré M. Wauquie dimanche soir.
“Nous avons un système social à repenser et c’est l’un des engagements qui feront à moi à la tête de notre parti”a ajouté M. Wauquiez. “Je considère que pour que le droit soit atteint par les Français, il doit s’exprimer sur le souverain, sur l’immigration. Elle doit également traiter (…) L’injustice d’un système de protection sociale qui ne reconnaît plus les personnes qui travaillent ou qui ont travaillé toute leur vie », a insisté celui qui a déjà fustigé en 2011, dans une formule controversée, “Les dérives de l’assistant”réel “Cancer de la société française”.
“Pour moi, c’est le deuxième problème majeur en France, il y a trop d’assistanne”, a ajouté le député de la haute-loire, évoquant également “Dépenses publiques” Et “Bureaucratie”.
Pas de “match sanglant”
Pour sa part, Bruno Retailleau affirme dans l’interview avec parisien Vouloir compter sur son action au ministère de l’Intérieur. «Je peux voir que ma politique de fermeté en matière migratoire, le trafic de drogue, la lutte contre l’islamisme se crée aux électeurs de gauche. Nous arrivons à la fin d’un cycle. Le temps n’est plus avec l’eau tiède et rustin »Il défend.
Il dit qu’il veut aussi s’adresser “À tous ceux qui veulent travailler à payer plutôt qu’à l’assistanat, que l’État réforme et cesse de faire les poches des Français, que l’école a transmis des connaissances et une fierté française”. Et concernant le parti lui-même, son objectif, assure-t-il, est de “Trouvez une convivialité, une collégialité et que les militants ne sont plus considérés comme des distributeurs de remplissage ou de dépliants”. “Nous avons besoin d’un refoundation complète de la LR et de modernisation de nos logiciels, c’est cette obsession de l’élection présidentielle qui nous a empêchés de repenser notre identité, notre projet social”Il regrette.
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Mais pour M. Wauquie, le ministre de l’Intérieur aura “Petit temps libre” Prendre soin du parti, contrairement à ce que prétend M. Retailleau, car “La délinquance ne s’arrête pas à 18 h” ni l’un ni l’autre “Le week-end”. Placer Beauvau est “Sans aucun doute l’un des emplois les plus exigeants du gouvernement”et représente “Un travail complet”A attaqué M. Wauquie.
Selon ce dernier, M. Retailleau est également contraint par “Solidarité du gouvernement” ce qui l’empêcherait d’avoir “Un mot très libre et très indépendant” comme nécessaire “La période actuelle”Selon M. Wauquiez. Or, “Le président du parti, demain, il doit pouvoir s’exprimer très fortement”Il plaide. En réponse, M. Retailleau avait assuré samedi Le parisien Qu’il n’était pas “Pas un homme à mettre [s]condamnations [s]une poche “.