Le 30 juillet, Sports Kyunghyang a publié un reportage exclusif sur Tzuyang. Selon l’article, l’ancien propriétaire (surnommé « B ») de l’établissement de divertissement pour adultes où Tzuyang avait travaillé a réfuté ses accusations.
Dans le rapport, « B » affirme que les affirmations de Tzuyang selon lesquelles elle aurait été forcée de travailler dans l’établissement sont fausses. Il ajoute que Tzuyang et son ancien petit ami se sont rencontrés alors qu’ils travaillaient ensemble dans un Norebang (bar karaoké), qui invite souvent des filles pour divertir les clients.
« Ceux qui travaillent dans notre secteur savent qu’il est systématiquement peu probable qu’une personne soit forcée de travailler dans un établissement pour adultes. Les femmes qui y travaillent sont libres d’aller et venir à leur guise. Ses affirmations selon lesquelles elle a été forcée sont un mensonge. Au moins, je n’ai jamais vu son ancien petit ami la menacer ou la maltraiter pendant qu’ils travaillaient ensemble. Cela aurait été évident si elle avait été forcée. »
— « B »
Bien que « B » ait pu être témoin de la relation de Tzuyang avec son ex-petit ami, il est important de noter que les abus dans les relations sont souvent cachés. Étant donné la relation étroite de « B » avec l’ex-petit ami de Tzuyang, il est difficile d’affirmer que son témoignage est entièrement fiable. De plus, si « B » avait joué un rôle dans les abus de Tzuyang, il pourrait faire l’objet d’accusations criminelles. Sa déclaration doit donc être lue dans ce contexte.
Tzuyang est devenue célèbre après avoir révélé la manipulation, les abus physiques et le trafic forcé dont elle aurait été victime de la part de son ancien petit ami.
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