Les volleyeurs français ont réussi à conserver leur titre olympique. Le triomphe du travail et de la bonne humeur.
Chers lecteurs,
C’est l’or des sourires. L’or des amis. L’or d’une décennie. L’équipe de France de volley-ball a conservé son titre olympique après sa victoire étincelante contre la Pologne. L’or de la bande de Jean Patry et Earvin Ngapeth représente bien plus que cette magnifique victoire aux JO. C’est l’éloge du travail, de la performance au long cours (10 médailles depuis 2015), mais aussi du collectif et de la bonne humeur.
Ces gars-là sourient, ils se touchent, s’encouragent, se soutiennent. Il y a quelques années, Jean Patry, le monstre du bloc et l’as du smash, avait du mal à servir. Ses coéquipiers l’applaudissaient à chaque service réussi, l’encourageaient à chaque service raté. Tim Carle, treizième homme de ces Jeux à n’avoir joué aucune médaille, ne reçoit pas de médaille. Ses copains lui en donnent une pour la photo.
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Cette équipe a offert à la France sa quinzième médaille d’or – un record d’Atlanta égalé. Mais mieux que cela : ces “volleyeurs” fous, généreux et terriblement attachants ont rendu les Français fiers et leur ont redonné le sourire. Les voilà au Panthéon des sportifs. Décidément : aux grands Hommes, la Patrie reconnaissante !
Bonne lecture,
Florent Barraco