La justice a ouvert une enquête sur le viol, les agressions sexuelles et le harcèlement sexuel sur des faits de violence présumés commis entre 2023 et 2024 sur dix élèves des écoles de santé de l’armée, situées près de Lyon, a appris la France-Presse Agency (AFP), vendredi 31 janvier.
Les enquêtes dans les écoles de santé militaires de Lyon-Bron (ESMLB), qui forment des médecins, des pharmaciens ou même des infirmières de l’armée, ont été confiées aux enquêteurs de gendarmerie, a communiqué le bureau du procureur de Lyon en AFP.
Cette enquête fait suite à plusieurs rapports réalisés par la gestion de l’ESMLB, qui a ouvert ses portes en parallèle huit enquêtes internes, a déclaré le service de santé AFP, confirmant les informations révélées par la France 3.
Ils concernent dix victimes présumées, tous les étudiants et huit attaquants présumés qui, à une exception, sont des étudiants ou des superviseurs de l’ESMLB, selon la France 3. L’une des enquêtes concerne les faits censés avoir été commis par une personne extérieure aux écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant les écoles pendant Leur gala en juin 2023 spécifiant qu’il s’agit de charges de viol contre un soldat allemand.
En 2024, au moins 225 rapports pour la violence sexuelle ou sexiste dans l’armée
Un autre dossier a été ouvert après un événement organisé en septembre 2024 par des étudiants à l’extérieur de l’établissement. Les autres enquêtes concernent des faits qui se sont produits dans “Bâtiments d’hébergement” de l’ESMLB.
Selon le Army Health Service, les auteurs présumés étaient éloignés soit par une mesure de suspension, soit par l’octroi de logements externes. «La commande affiche une position très ferme vers ces faits. Il est impossible de tolérer que nos étudiants militaires, futurs soignants, qui seront conduits à l’intimité des gens, peuvent avoir de tels comportements »dit l’un de ses porte-parole.
Seuls les sites de formation pour la médecine militaire en France, ces deux écoles de formation comptent actuellement plus de 1 000 étudiants. Plus largement au sein de l’armée, la violence sexuelle ou sexiste a fait l’objet de 49 rapports à la justice par la hiérarchie militaire en 2023. En 2024, il y a eu 225 rapports, selon une évaluation incomplète.
Cette augmentation élevée est due, selon le contrôleur général, à un “Libération du discours de commandement”qui rapporte maintenant “Systématiquement” Les affaires ont porté à son attention.