Les “Puffs”, ces cigarettes électroniques jetables en vogue chez les adolescents, deviennent interdites ce mardi 25 février.
L’interdiction des “bouffées”, ces cigarettes électroniques jetables à bas prix à la chute des jeunes, est entrée en vigueur avec la publication ce mardi 25 février dans le Journal officiel de la loi adoptée à l’unanimité au Parlement le 13 février.
“Sont interdits en détention pour la vente, la distribution ou l’offre gratuitement, la vente, la vente, la distribution ou l’offre gratuite d’appareils électroniques de vapotage (…) qui sont pré-remplis d’un liquide et ne peuvent pas être remplis, qu’ils soient ou non avoir une batterie rechargeable.
Parfum de menthe, crème glacée aux fraises, pastèque ou chocolat; Les coûts «emballages» attrayants et abordables ont fait le succès de ces appareils avec les plus jeunes, malgré un risque prouvé de dépendance à la nicotine.
Après une assemblée nationale unanime début février, le Sénat avait approuvé l’interdiction le 13 février par un vote incontrôlable, le point de vue d’un cours de plus de deux ans au Parlement avec un adoption de la Commission européenne, pour ce texte initié par le L’ancien écologiste adjoint Francesca Pasquini (génération.s).
“Santé publique” et “environnement”
Le Rapporteur Khalifé Khalifé (LR) avait dénoncé un “marché qui cible sans vergogne les jeunes enfants atteints de marketing inhibit”, lorsque la sénatrice environnementale Anne Souyris avait critiqué des bouffées “conçues pour attirer les jeunes avec leur saveur douce et leur design attrayant”.
Tout en accueillant une “décision importante en termes de santé publique et de l’environnement”, le Comité national contre le tabagisme était préoccupé par “le contournement déjà prévu par les fabricants qui continuent de mettre sur le marché des cigarettes électroniques ciblant les jeunes par la multiplicité de leurs arômes et qui restent jetables après un numéro de recharge très limité “.
Cette décision “a été examinée par de nombreux pays”, a déclaré Francesca Pasquini, estimant que l’exemple français pourrait inspirer un certain nombre de voisins.
Quinze pour cent des adolescents âgés de 13 à 16 ans ont déjà utilisé des “bouffées” et, parmi lesquelles, 47% déclarent avoir commencé leur initiation à la nicotine à travers cela, selon une enquête BVA pour le tabac de 2023.
Certains parlementaires avaient également appelé le gouvernement à garder ses engagements sur l’interdiction d’un autre produit, les “Pacnops”, des sachets de nicotine qui glissent entre la lèvre et la gomme.