
Après dix ans passés dans la formation en étape rapide, Julian Alaphilippe a rejoint cette année l’équipe de cyclisme suisse Tudor, dans la deuxième division du cyclisme sur Male Road, pour restaurer un “Vent de la fraîcheur” à sa carrière. Avant le départ de Paris-Nice, dimanche, le double champion du monde de 32 ans évoque, dans une interview avec le “monde”, sa relation se distend avec son ancien patron, Patrick Lefevere, ses moments difficiles et ses nouvelles ambitions, avec le Tour de France en ligne en vue.
Vous avez traversé une période compliquée. Comment percevez-vous cette nouvelle aventure comme le leader d’une jeune équipe?
La période compliquée est derrière moi, certainement. J’ai eu deux saisons difficiles, attachant beaucoup de blessures. Tout va mieux dans ma vie quotidienne, sur ces nouvelles bases. Je suis motivé et très heureux de faire partie d’un nouveau projet. C’est la continuation de mon histoire et de ma carrière. Je sors de ma zone de confort en jouant un nouveau rôle de leader. J’apporte mon expérience et mes connaissances aux plus jeunes coureurs.
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