Calme, empathique, méticuleux, canadien-anglais, le fabricant de documentaires David Ridgen a toutes les qualités pour produire des épées Vrai crime humains et sensibles. Le succès de sa série Quelqu’un sait quelque chosequi en est à sa neuvième saison, ne peut pas être refusé. Dans sa dernière enquête, relative à la disparition en 1993 de Christine Harron, un adolescent calme de Hanover, en Ontario, Ridge renvoie chaque pierre, à la recherche de réponses et d’apaisement pour les parents endeuillés. L’hôte connaît particulièrement bien l’histoire de l’histoire que tout le monde appelle Chrissy: il a d’abord fait un documentaire télévisé, une production qui a ensuite été utilisée par la police pour mettre en place une opération d’infiltration et arrêter un suspect. Le balai dissèque cette opération en utilisant les enregistrements effectués par les agents d’infiltration, nous plongeant au cœur de l’intervention de la police. Mais l’histoire de Christine est également celle de plusieurs erreurs de la police, qui détourne David Ridgen avec rigueur. Comme c’est toujours le cas dans Quelqu’un sait quelque choseLa prise de conscience est impeccable, avec de nombreuses prises en nature, ce qui rend l’histoire encore plus concrète.
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